Pierre Thiry

[Revue de presse] L'hebdomadaire Côté Rouen du 18 Octobre 2023 annonce la publication de mon roman LE POLYCARPE ARPENTEUR. Article et à lire en page 8 (cliquez ici pour le lire sur Calameo).

Vous pouvez vous procurer LE POLYCARPE ARPENTEUR dans toutes les bonnes librairies. Je dédicace ce livre mercredi 18 Octobre 2023 à la Librairie Colbert 1, Place Colbert à Mont-Saint-Aignan (cliquez ici). Achetez vos livres en librairie.

Si vous n'avez pas pu venir à la Librairie Colbert, ce 18 Octobre, rien n'est perdu vous pouvez suivre le programme de mes prochaines séances de dédicaces (cliquez ici).

[Nouveauté Rentrée littéraire 2024] BEAUTÉ QUI PASSE est paru en juillet 2024, avec une préface du poète Laurent Robert. Cet ouvrage est le résultat de mon écriture quotidienne inlassablement consacrée à la forme, à la structure et aux rythmes du sonnet. Ce recueil réunit donc des sonnets présentés à leurs dates de composition de janvier à juillet 2024. Ce livre forme donc une trace poétique de l'an 2024. Il vit désormais sa vraie vie de livre dans les mains de ses lectrices et lecteurs. Un mois après sa parution ce sont sept critiques ont déjà été publiées à son sujet sur le forum babelio. Cliquez ici pour les lire.

[Communiqué de presse] [Appel à chroniques] J'ai le grand plaisir de vous informer de la parution en ce mois de juillet 2024 de BEAUTÉ QUI PASSE, un recueil de sonnets de l'an 2024, préfacé par le poète Laurent Robert (cliquez ici pour en savoir plus).

Qui dit nouveau livre dit «clavardages» nouvelles chroniques de la blogosphère littéraire sur les réseaux sociaux, sur les blogs, les revues, les forums littéraires spécialisés comme Babelio). Ami.e.s chroniqueuses et chroniqueurs de la sphère littéraire et poétique, je fais donc appel à vous. 

Journalistes, Internautes et Babelionautes, si vous souhaitez chroniquer BEAUTÉ QUI PASSE, je vous invite à suivre la procédure décrite ci-dessous:

Contactez l'éditeur BoD à l'adresse courriel [presse@bod.fr].

En cliquant sur le lien entre crochets ci-dessus vous générerez un mail avec le titre du livre (le nom de son auteur son numéro ISBN). Indiquez dans votre mail votre adresse postale, le nom et l'adresse de votre site internet ou le nom et l'adresse du média pour lequel vous travaillez.

Votre demande sera instruite par le service communication de BoD France qui vous répondra et vous fera parvenir un Service Presse si vous rentrez dans le cadre des chroniqueuses et chroniqueurs littéraires ayant une audience suffisante pour y prétendre. Les conditions auxquelles est soumise cette offre d'exemplaire presse sont définies par BoD sur cette page de blog (cliquez ici). 

Mle Mars (source Gallica BnF)

When Mars plays Roxelanne she is a teen (source Gallica BnF)

Entre virtuosité et amusements, il existe des formes littéraires qui finissent par susciter le sourire à force d’avoir été trop pratiquées. Mais la littérature aimant les tourbillons pleins d’imprévus, il arrive que ces vieilles formes rejaillissent comme un large fleuve majestueux après avoir traversé plusieurs siècles sous l'allure d'un maigre ruisseau banal. Presque invisible à force de transparence, il semble que l’acrostiche ait suivi ce parcours. Après avoir été le passage obligé d’une haute élégance symbolique dans l’antiquité (on trouve des acrostiches chez les Grecs les Hébreux et les Romains), cette forme textuelle aurait fini par prendre selon l’opinion des professeurs amateurs de beau style l’allure d’une vieillerie démodée tout juste bonne à amuser les écoliers, comme une broderie baroque qui pourrait encore servir à fabriquer des rideaux à moindres frais.

Dans une lettre adressée à Louise Colet le 7 octobre 1852, (source: Université de Rouen) Gustave Flaubert l’aborde comme un symbole de régression vers une écriture désuète : « Maintenant nous allons retourner aux petits amusements des anciens jésuites, à l’acrostiche, aux poèmes sur les cafés ou le jeu d’échecs […] je suis fâché de ne pas savoir ce qui se passera dans cent ans. Mais je ne voudrais pas naître maintenant et être élevé dans une si fétide époque. » Qu’est-ce qui dans l’acrostiche pouvait justifier cette hargne de Flaubert alors que le Second Empire commençait à peine à balbutier ? Cent-soixante-dix ans après cette lettre de Flaubert, peut-on encore considérer l'acrostiche comme une forme régressive? 

De la réponse à ces deux questions, nous pourrons peut-être comprendre pourquoi ce terme évoquait pour Flaubert cette idée de moisissure où son siècle aurait basculé. Mais avant d’approfondir ce sujet, il convient de délimiter le champ que l’on va parcourir. Selon le « Trésor de la Langue française », l’acrostiche est une « pièce dont les vers sont disposés de telle manière que la lecture des premières lettres de chacun d’eux, effectuée de haut en bas, révèle un nom, une devise, une sentence, en rapport avec l’auteur, le dédicataire, le sujet du poème, etc. » 

De cette définition il découle trois idées importantes :

1° L’acrostiche semble relever de la poésie : il implique des vers, donc une versification. La versification est en général considérée comme un signe extérieur de langage poétique.

2° L’acrostiche propose un sens de lecture inhabituel. La langue française se lit généralement horizontalement et de gauche à droite. L’acrostiche propose une lecture verticale de haut en bas. Cette caractéristique le rattache à une forme d’acrobatie verbale et à une lecture qui n’est pas immédiate, à une écriture qui n’est pas sans virtuosité.

3° L’acrostiche peut concerner une foule de domaines : du nom propre d’une personne à qui l’on veut rendre hommage en passant par le thème du poème en allant jusqu’à explorer tous les infinis possibles qu’ouvre cette merveilleuse locution finale : « etc. » (et caetera). 

Ces trois idées simples que l’on pourra compliquer en les approfondissant laissent supposer que l’acrostiche n’est peut-être pas qu’un simple amusement.

Ce Mercredi 18 Octobre, je présenterai mon nouveau roman LE POLYCARPE ARPENTEUR à la Librairie Colbert de Mont-Saint-Aignan. Le mercredi matin étant jour de marché sur la place Colbert, je serai présent à la librairie de 10h à 13h le matin et de 15h à 19h l'après-midi. 

Le Polycarpe arpenteur est paru depuis septembre 2023, il a déjà reçu une très belle chronique signée Ghislaine Degache et publiée le 6 Octobre 2023 sur son blog Notre jardin des livres (cliquez ici):

«Intriguée par ce titre quelque peu énigmatique, j'ai très vite été hypnotisée et émerveillée par ce livre dont le coeur de l'éngme est justement le R.O.M.A.N, Rapide Objet Manipulable aimant naviguer...» écrit notamment Ghislaine Degache dans cette chronique qui est aussi une fort belle invitation à venir découvrir ce livre le 18 Octobre 2023 à la librairie Colbert.

Lors de cette séance de dédicaces, j'aurai également sur ma table mes livres LE MYSTÈRE DU PONT GUSTAVE-FLAUBERT (polar décalé) et CINQUANTE-DEUX REFLETS (recueil de poésie). 

À noter: j'évoquerai cette journée de présentation du Polycarpe arpenteur  en direct sur Radio Campus Rouen Vendredi 13 Octobre de 20h à 20h30 dans l'émission L'ASSOC PIQUANTE (cliquez ici).

[Rentrée littéraire 2023] J'ai le grand plaisir de vous annoncer la parution dans le courant de ce mois de septembre 2023 de mon roman LE POLYCARPE ARPENTEUR. Ce roman est une histoire d'amours, un roman à mystères, un récit d'aventures. C'est un voyage qui invite à Rêver Ouvertement, Musicalement Aux Noeuds Romanesques Opaques, Mais Amplement Naturels. Bref c'est un R.O.M.A.N. (et pas pour une unique et seule raison).  Pour en savoir plus (cliquez ici).

Ce livre est disponible (stock ou sur commande) dans toutes les bonnes librairies (cliquez ici). Il est également disponible dans la librairie en ligne de BoD (cliquez ici).

[article rédigé par Pierre Thiry]

Le prochain atelier d'écriture que je vous propose à Rouen est prévu ce vendredi 25 août  au Salon de thé de l'Hôtel du Vieux Carré 34, rue Ganterie  (Rouen), pour en savoir plus cliquez ici.

Je serai présent au salon du livre organisé à Bois Héroult par l'association Les Choucas. Il se déroulera les Samedi 24 et Dimanche 25 Juin 2023 au Château de Bois-Héroult j'y présenterai notamment mes dernières nouveautés: CINQUANTE-DEUX REFLETS et VALSE FROIDE. 

Revue de presse: 76actu annonce le salon du livre de Bois-Héroult (cliquez ici)

Plan d'accès au salon cliquez ici

Pour en savoir plus cliquez ici.

Le 7 juin 2023 arrivait à l'Armada de Rouen 2023 le Galéon Andalucia (une réplique d'un galion espagnol du XVIIe siècle)... N'était-ce pas l'occasion ou jamais pour LE MYSTÈRE DU PONT GUSTAVE-FLAUBERT d'être-là pour l'accueillir?... Le Galéon Andalucia par sa forme baroque évoque à merveille le climat de ce roman. Ceux qui naviguent sur la toile en quête de nouvelles lectures comprendront pourquoi. Ce polar décalé a déjà reçu de nombreuses belles chroniques de lectrices et lecteurs internautes sur les réseaux spécialisés. La dernière d'entre-elle étant un coup de coeur avec la note 5/5***** publiée par Le Pommier Lecteur ce 4 juin sur Babelio: «C'est du grand art, parfaitement documenté, un régal pour le lecteur amoureux de Flaubert et de la musique de l'âme...» (cliquez ici pour lire cet avis de lecture en intégralité).

Citation extraite du Mystère du pont Gustave-Flaubert (chapitre VII, page 101: «C'était un navire sur lequel embarquait une trentaine d'hommes d'équipage dirigés par le fameux amiral Colomb, le découvreur de la route de l'ouest vers Cipangu et Catay. Ce vaisseau s'apprêtait à faire voile pour une nouvelle expédition. En grimpant à bord Gustave fut impressionné par sa splendeur...»

Du 8 au 18 juin aura lieu à Rouen l'Armada de Rouen 2023... N'est-ce pas une occasion de lire (ou relire) LE MYSTÈRE DU PONT GUSTAVE-FLAUBERT?... Entre le 8 et le 24 mai 2023 ce polar décalé a reçu six nouvelles critiques dont une chronique coup de coeur avec la note 5/5***** publiée ce 24 mai sur Babelio: «Pierre a le don de me surprendre dans chacun de ses romans...» (cliquez ici pour lire cet avis de lecture en intégralité).